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Quelles sont ces 9 clés de l’estime de soi

Il n’existe pas une recette miracle pour avoir une bonne estime de soi. En revanche, nous pouvons améliorer une ou plusieurs clés pour aller mieux. Ne surdéveloppez pas un seul domaine, il est important de garder un équilibre entre plusieurs clés présentées ci-dessous. Vous pouvez choisir un objectif à la fois et vous focalisez dessus, un changement d’une seule pièce d’un problème peut provoquer des réactions en chaîne.

C’est une des premières règles de l’estime de soi. C’est le regard que vous portez sur vous-même, la manière dont vous vous présentez aux autres. Vous pouvez commencez à vous poser des questions comme : Ce que j’aime et je n’aime pas, qu’est-ce que je connais ou je ne connais pas, quelles sont mes échecs et mes réussites, mes défauts et mes qualités ?

Une fois que je connais mes défauts, je les assume, je les accepte. Pour avoir une bonne estime de soi, il n’est pas nécessaire d’être parfait.

Nous avons parfois mal à accepter d’avoir peur, d’être déçu, d’être fâché. Nous sommes tentés à dénier nos émotions. Assumons nos émotions négatives ainsi que l’envie de changer les situations.

Si vous souhaitez un changement, il faut agir. Les petits ou grands actes au quotidien. Ayez des objectifs petits ou grands qui une fois atteints, vous permettent de vous sentir mieux et améliorent votre estime de soi. Vous pouvez aussi exceller dans un domaine. 

Les critiques intérieurs sont toutes les pensées critiques que nous nous adressons à nous-même. C’est le discours parental intériorisé, la conséquence de ce qu’entendions lorsque nous étions enfants. Tout ce discours intérieur nuit à notre estime de soi.

Qui aime les échecs ? Personne. Mais pour changer, pour réussir, il faut prendre le risque d’échouer, donc agir. Rappelez-vous que tout le monde peut échouer et qu’on peut tirer des enseignements des échecs, importants à la réussite, et à votre estime de soi.

L’affirmation de soi est la capacité à exprimer ce qu’on pense et ce qu’on veut, ce qu’on ressent, mais tout en respectant ce que l’autre pense, veut et ressent. C’est le fait de l’exprimer sans agressivité, de pouvoir demander quelque chose sans toujours s’excuser.

L’empathie est la capacité d’écouter et de ressentir le point de vue des autres, de chercher à les comprendre et de les respecter. Et cela, même si l’on n’est pas totalement d’accord. Il ne faut toutefois pas tomber dans l’hyper-empathie (écouter sans s’affirmer).

Le rapport aux autres est un élément essentiel de l’estime de soi. N’hésitez pas à demander du soutien, activez régulièrement votre réseau social et diversifier le.

Transformez vos plaintes en objectifs, choisissez des objectifs adaptés, procédez par étapes, allez en thérapie.

Vous pouvez commencer par lire le livre dont je me suis inspiré : L’estime de soi, s’aimer pour mieux vivre avec les autres de Christophe André et François Lelord.

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